( Arthur Rimbaud, dessiné en 1872, par Verlaine )
Depuis 2014, j’ai véritablement mis en place une discipline d’écriture, avec, comme objectif, de rencontrer mon public de lecteurs et, par la même occasion, d’être soutenu par un éditeur. Les embûches sont multiples, ceux qui ont déjà essayé le savent pertinemment, et l’auto-publication de romans m’a semblé être un bon tremplin pour atteindre mon but. C’est vrai, les Éditions du Menhir, au cours de l’année 2016, m’ont donné leur pleine confiance en publiant, à compte d’éditeur, mon recueil de poèmes en prose (” Seize “, dont je vous parle dans un autre article). Mais, il faut se rendre à l’évidence: ce genre, la poésie, est de moins en moins lu, et ce, au-delà de toute considération sur le talent – en tout cas, sous format papier, puisque, sur Instagram, notamment, la prose poétique retrouve quelques-unes de ses lettres de noblesse. Pas vrai, Arthur?