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Pierre Faupoint, écrivain authentique

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Pour vos cadeaux de ce Noël 2019 Trois livres d’auteurs français (Émile Ajar, Daniel Pennac, Christian Bobin)
Mes lectures indispensables

Pour vos cadeaux de ce Noël 2019 Trois livres d’auteurs français (Émile Ajar, Daniel Pennac, Christian Bobin)

by Pierre Faupoint 9 December 2019
written by Pierre Faupoint

Paru en 1975, « La vie devant soi » obtint le prix Goncourt la même année. L’auteur de ce roman, Émile Ajar, est à lui tout seul une aventure humaine : Ajar est l’un des pseudonymes de Romain Gary, écrivain français d’une puissance imaginative intarissable. Romain Gary, déjà, en 1956, pour « Les Racines du ciel », avait été auréolé de ce même prix Goncourt. Excusez du peu : un écrivain, récompensé deux fois par le même prix littéraire prestigieux. Chapeau bas !

En tout cas, « La vie devant soi » est un joli livre à offrir car l’histoire est tendre, émouvante, parsemée de personnages iconoclastes et bouleversants. Vous ne pourrez jamais oublier, après sa lecture, Madame Rosa et, surtout, le petit Momo. C’est quand même l’histoire d’amour entre un petit garçon arabe et une très vieille femme juive !

Paru en 2012, « Le journal d’un corps » de Daniel Pennac a été, pour moi, d’une lecture jubilatoire comme rarement ce fut le cas avec d’autres romans ! Pensez donc : le narrateur a tenu un journal intime, de 13 à 87 ans, sur son corps et ses transformations successives tout au long des aléas d’une vie ! Le point de vue, pardon, le point d’écriture que Daniel Pennac adopte pour raconter le temps qui passe est d’une profondeur infinie. Pour moi qui ai passé la cinquantaine et qui, lors de sa première lecture, n’en étais pas encore là, je me suis retrouvé à maintes reprises dans les mots de l’auteur. C’est bien là où se trouve la force de « Le journal d’un corps » : donner à penser à chaque lecteur que c’est aussi un peu son propre journal intime.

« Le journal d’un corps » est un joli livre à offrir. En outre, paraît-il qu’il a été réédité, en 2013, dans une version illustrée. Il a été mis en dessin par Manu Larcenet, et cette bande dessinée est toujours disponible à la vente. Donc, au cadeau…

Paru en 1999, « La Présence pure » est un ouvrage de Christian Bobin. Pour moi, c’est comme si ce recueil de textes avait été publié en 2012, car c’est l’année où j’ai découvert ce poète, moraliste et diariste comme on dit. Pour ceux de vos proches, des membres de votre famille, pour ceux de vos amis qui aiment la poésie, « La Présence pure » est un merveilleux cadeau. Vous trouverez, à l’intérieur de ce petit livre, un texte d’une dizaine de pages intitulé « L’Équilibriste ». Christian Bobin raconte ici sa rencontre avec un homme à tête de cheval. C’est une histoire émouvante, tendre, qui m’a longtemps poursuivi et tenu compagnie.

En règle générale, les ouvrages de Christian Bobin sont tous d’une poésie éclairée, fragmentée, représentative de moments qu’il veut suspendre, comme s’il appuyait sur le bouton stop de la machine-temps.

Croyez-moi sur parole : « La Présence pure » est un livre à offrir, les mains tendues et les yeux fermés !

[Dans de prochains articles, je chroniquerai, de manière plus détaillée, les trois ouvrages précités]

9 December 2019 0 comment
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Les Bébés de la consigne automatique de Ryû Murakami (paru en 1980 au Japon, en 1996 en France)
Mes lectures indispensables

Les Bébés de la consigne automatique de Ryû Murakami (paru en 1980 au Japon, en 1996 en France)

by Pierre Faupoint 3 November 2019
written by Pierre Faupoint

Avant tout, il est important de faire un distinguo : d’un côté, il y a Haruki Murakami, l’auteur, entre autres, des trois volumes de « 1Q84 » et, de l’autre, le Murakami qui nous intéresse ici, de son prénom Ryû, duquel je vous conseille fortement la lecture de « Les Bébés de la consigne automatique ».

Déjà, le titre, en lui-même, vous avouerez, est plutôt surprenant : « Les Bébés de la consigne automatique ». On a envie de savoir ce qu’il se cache derrière cette sorte de panneau publicitaire, non ? Le contenu, vous verrez, est de la même veine, car la plume de Ryû Murakami va vous entraîner, tour à tour, dans un tourbillon – oserais-je dire dans un tsunami ? – de laideurs, de poésies, de violences, de haines, de pornographies et de cruautés… toutes saupoudrées de maladies mentales ! Mais c’est magistralement bien écrit, et la tension du début du récit suinte jusqu’à la fin. Ce qui n’est pas donné à tous les auteurs.

Paru, en 1980, au Pays du Soleil Levant, « Les Bébés de la consigne automatique » est un livre prémonitoire sur un certain Japon de la fin du vingtième siècle. En effet, le narrateur nous propose un Tokyo fort éloigné de l’image aseptisée que nous, Occidentaux, avons en réserve dans notre imaginaire. Ici, Ryû Murakami nous plonge avec lui dans une société qui se délite peu à peu, corsetée dans des traditions qui n’ont plus aucune saveur. Plus aucune prise sur une jeunesse qui s’abîme inexorablement.

Les personnages principaux, Hashi et Kiku, sont les deux nourrissons en question. Abandonnés dans cette fameuse consigne automatique, par une mère maquillée, ces enfants auront toujours, pour la vie éternelle, une cicatrice purulente qui fera le tour de leur cœur. Quand Baudelaire écrivait : « Moi, mon âme est fêlée […] », Ryû Murakami crie, haut et fort, que la jeunesse nippone est à jamais emprisonnée dans un mal-être plus fort que tout.

Pour ma part, ce livre m’a beaucoup fait réfléchir, notamment sur mon propre travail d’écriture. Lorsque j’ai commencé à écrire mon premier roman, « Je fus un mauvais homme », en 2016, je me suis souvenu de l’ouverture de « Les Bébés de la consigne automatique », et du chaos continuel que Ryû Murakami avait réussi à faire ressentir durant les cinq cents pages de son récit. Exercice pas facile, pas facile du tout… Alors, fort humblement, j’ai préféré, me concernant, une narration déroutante sur, « seulement », 183 pages !

Cela étant dit, si vous aimez les histoires prenantes – de celles qui vous attrapent par les tripes ! – et qui ne vous lâchent plus, du premier au dernier chapitre, je vous conseille d’aller dévorer « Les Bébés de la consigne automatique » ! C’est un roman très fort, qui révulse et qui émeut.

3 November 2019 0 comment
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Sortie le mardi 28 janvier 2020 : « Les Écervelés » – Nouveau roman d’anticipation
Mes livres

Sortie le mardi 28 janvier 2020 : « Les Écervelés » – Nouveau roman d’anticipation

by Pierre Faupoint 8 October 2019
written by Pierre Faupoint

« Les Écervelés » Résumé de la première partie

Mars 2023, dans deux villes imaginaires de la France : Areng-sur-Fault et Sainte-Clotilde. Un an plus tôt, une femme, de la peste brune en pagaille dans les cheveux, est élue présidente de la République.

Toutefois, le roman va s’agréger autour de Fantin, jeune garçon de 17 ans, brillant à l’école, attentionné envers son meilleur ami de toujours, Khris ; humilié par un père cynique, adoré par une mère soumise.

Un matin, Fantin connaît une expérience incroyable qui, à jamais, va bouleverser son existence. Le jeune garçon est en effet projeté, réellement, physiquement, dans le corps d’un enfant néandertalien… 30 000 ans en arrière ! La chef-d’orchestre de ce tour de passe-passe : Mademoiselle Fournet. L’un des rouages essentiels de ce récit.

Reconstitution du squelette de l’enfant néandertalien de Dederiyeh (Syrie)

Quand Fantin « revient » en 2023, il constate que son cerveau est « augmenté », et qu’il a un chignon occipital à l’arrière du crâne ! C’est à ce moment-là que le Docteur Luc Rigo entre en scène. Il est le Directeur scientifique Europe de la biotech Genomis Incorporation. Épaulé par sa fidèle collaboratrice, le Docteur Madeline Kieffer, Luc Rigo met tout en œuvre pour récupérer le cerveau de Fantin. N’est-ce pas là le cobaye idéal pour inventer, dès demain, une surhumanité uniquement dédiée aux « Possédants », aux ultra-riches ?

De son côté, Fantin a soif de comprendre la mécatronique propre de son cerveau, et il pense trouver des réponses auprès de la tendre Mademoiselle Fournet. Il la convainc de l’expatrier à nouveau dans cette fabuleuse distorsion du temps… mais la séance prend une drôle de tournure pour Fantin, car son esprit atterrit dans le corps d’un loup !

À cause de Khris, qui se révèle être un félon de la pire espèce. De Madeline Kieffer, quinquagénaire sexy et diabolique. Et du Docteur Rigo, obnubilé par la vie éternelle. À cause de tous ceux-là et de bien d’autres événements encore, le cerveau de Fantin finira par être la propriété de Genomis Incorporation. Et la porte sera grande ouverte aux plus sombres desseins.

« Les Écervelés » Résumé de la seconde partie

Areng-sur-Fault, en 2038, est le laboratoire grandeur nature, et à ciel ouvert, de la nouvelle humanité que Genomis Incorporation s’apprête à vendre aux « Possédants » du reste du monde : une humanité pucée et surveillée, hyper mobile et électrique, téléchargeable et remplaçable ; interchangeable pour quelques-uns.


Le Docteur Luc Rigo, grâce à ses quinze années de recherches cliniques sur Fantin le cobaye, est le précurseur de phénomènes technologiques insensés : comme une espérance de vie de 366 années, ou la duplication de la protéine de la pensée.

Mais le Docteur Rigo a beaucoup de craintes, desquelles il ne peut s’ouvrir qu’à Saphia, son robot androïde – qui bénéficie du statut de citoyenne à part entière. Appréhensions dont son supérieur hiérarchique, Maurice Qu, n’a que faire ! Il veut que Genomis Incorporation inonde sans délai le marché européen avec leurs dernières innovations. Coûte que coûte !

Avant de s’annihiler entièrement, le Docteur Luc Rigo décide de remettre Fantin sur pied, en lui injectant une puce CCP – pour Communication en champ proche – de dernière génération. Cette petite perle de verre, sous-cutanée, entre le pouce et l’index, va lui permettre d’affronter tous les dangers de Areng-sur-Fault.

Est-ce bien ce jeune Fantin, dans un tel système autocratique, où la robotique molle autorise les pires atrocités, qui réussira à ramener l’Homme dans la bonne direction ? En un mot : humaine ?

Note importante

Le titre de l’ouvrage (« Les Écervelés »), mais aussi les noms des personnages, des villes, des lieux, des sociétés et des innovations technologiques, cités dans cet ouvrage, ont au préalable été déposés, sur procès-verbal de constat, auprès de la SELARL Carole SNYERS, Huissiers de justice associés, 1 Rue Charles Corbeau 27000 Evreux.

Fait le samedi 5 octobre 2019.

8 October 2019 0 comment
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Le maître et Marguerite de Mikhail Boulgakov (écrit entre 1927 et 1939)
Mes lectures indispensables

Le maître et Marguerite de Mikhail Boulgakov (écrit entre 1927 et 1939)

by Pierre Faupoint 28 September 2019
written by Pierre Faupoint

J’ai découvert ce chef-d’œuvre, « Le maître et Marguerite », relativement récemment, puisque ce devait être en 2016. L’ouvrage m’avait alors été conseillé par l’une de mes collaboratrices, sur mon lieu de travail, elle-même d’origine russe et férue de poésie. La claque ! J’ai pris une claque, et encore plus lors de ma deuxième lecture qu’à la première !

Vivant avec moi-même depuis plusieurs décennies, je sais être autant attiré par un livre en lui-même que par l’existence de son auteur ; et l’on peut dire ici que Mikhail Boulgakov a eu une vie terriblement compliquée ! Surgi durant le régime stalinien, Boulgakov, génie littéraire, était libre dans ses pensées, trop libre, agile dans ses écrits, trop agile, et ça lui a coûté cher, très, très cher. Le plus souvent, il vécut dans un certain dénuement car les journaux de l’époque, contrôlés par la clique du dictateur, s’amusaient, avec une mauvaise foi tendancieuse, à lui faire mauvaise presse.

Néanmoins, en parallèle de son énergie créatrice, en partie orientée vers le Théâtre d’Art, Boulgakov travailla sans relâche, durant douze années, sur « Le maître et Marguerite ». Il corrigea, il annota, il biffa, aidé en cela par sa dernière compagne, Lena, mais aussi et surtout par cette espièglerie qui ne l’aura jamais quitté. Cette espièglerie qui lui aura permis de laisser, bien après sa mort, un livre abouti qui ne peut s’oublier.

J’imagine cet homme, rongé par la maladie, un vieux bonnet tricoté sur la tête, vêtu de son peignoir de bain mauve sale, – avec son chien Bouton pas très loin – qui, retiré dans son cabinet de travail, avait la conscience d’être en train d’écrire quelque chose de très important. Un écrivain qui, en dépit de « camarades » élevés pour le discréditer, ne doutait pas de sa vocation et de la place qui lui reviendrait, un jour.

« Le maître et Marguerite » – dont le titre initial était « Conseiller aux sabots » – est une œuvre magistrale dont vous ne sortirez pas indemne ! Comme moi, vous devrez le lire plusieurs fois tant les détails sont innombrables, les personnages taillés par une plume corrosive et disruptive – déjà, hein ? –, et l’histoire, ou devrais-je dire les histoires s’imbriquent les unes aux autres dans un maelstrom de fureurs, d’amours et de morts.

Pensez donc : il y a là Satan, un magicien, un chat noir, un tueur, une sorcière rousse, et puis le Maître, bien sûr. Mais il y a aussi Ponce Pilate… et, surtout, Marguerite. Marguerite qui, par amour pour son Maître, acceptera de vivre dans la misère et ainsi rejoindre son bien-aimé dans une existence surréelle.

Alors, amis lecteurs, courez, volez, empruntez le moyen de transport de votre choix, mais allez acheter, toutes affaires cessantes, « Le maître et Marguerite » ! Votre argent, pour le coup, aura été bien dépensé.

28 September 2019 0 comment
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La Conjuration des imbéciles de John Kennedy Toole (écrit avant 1969)
Mes lectures indispensables

La Conjuration des imbéciles de John Kennedy Toole (écrit avant 1969)

by Pierre Faupoint 10 September 2019
written by Pierre Faupoint

La première fois que j’ai eu ce roman entre les mains, j’habitais alors dans les Pyrénées ariégeoises. C’était en 1991. Je venais de quitter Paris et son tumulte, pour me retrouver dans une région, l’Ariège, où la culture baba cool battait encore son plein.

Je me souviens fort bien de ma première lecture – je l’ai lu à quatre reprises, à ce jour – car le personnage principal, Ignatius J. Reilly, me faisait penser à l’un des membres de ma famille que je détestais – que je ne déteste plus, d’ailleurs, par la force des choses !

Je ne vais pas, ici, vous faire un résumé de ce livre, ce n’est pas le propos ; et puis, d’autres que moi, bien avant moi, ont déjà trituré cet ouvrage de mille façons pour en retirer la substantifique moelle !

Non, je vous conseille ce livre car, à chaque fois que je l’ai conseillé, prêté – et peu souvent rendu, soit dit en passant… – il a remporté les suffrages de la lectrice et du lecteur concernés. Vous allez sacrément rire en lisant « La Conjuration des imbéciles ». Vous allez être scotché. Et même, parfois, vous serez attristé. Tout ça en même temps, et dans un sens différent !

Le drame dans toute cette histoire, est que l’auteur, John Kennedy Toole, s’est suicidé à l’âge de 32 ans – donc, en 1969 – car il pensait être un écrivain raté. Alors qu’en 1981, son bouquin sera récompensé par le prestigieux prix Pulitzer, à titre posthume ! Après son décès prématuré, sa mère fera des pieds et des mains pour que ce « grand roman », comme elle disait, soit enfin lu comme il le méritait. Et elle a eu raison d’insister à ce point. Comme quoi, derrière chaque grand artiste, il y a toujours une femme : une épouse, une maîtresse, une mère, une sœur, une muse…

Ma dernière lecture de ce roman remonte à 2013. J’avais depuis lors décidé de travailler sérieusement mon écriture et je m’étais souvenu des dialogues savoureux, rythmés, dont John Kennedy Toole avait saupoudré son livre. Je l’ai donc lu avec un œil bien plus analytique, car écrire des dialogues était pour moi, au début, un exercice périlleux. Merci, John Kennedy Toole ! Merci Ignatius J. Reilly !

Il faut également savoir que, précoce, le petit John, à l’âge de seize ans, avait écrit un premier roman « La Bible de néon ». Sincèrement, quand vous dévorerez celui-ci – beaucoup plus mince que « La Conjuration des imbéciles » – vous vous direz : « Mais il a écrit ce truc à seize ans ? Mais c’est dingue ! » Oui, en effet, c’est dingue, car « La Bible de néon » démontre que, décidément, le petit John était déjà un génie en culotte courte.

Alors, si ce n’est déjà fait, plongez sans plus attendre dans « La Conjuration des imbéciles » et dites bonjour à Ignatius de ma part. Vous verrez, vous ne pourrez pas le rater…

10 September 2019 0 comment
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2019 : “Je fus un mauvais homme” – Roman auto-publié
Mes livres

2019 : “Je fus un mauvais homme” – Roman auto-publié

by Pierre Faupoint 18 March 2019
written by Pierre Faupoint

J’ai terminé l’écriture de ce roman “Je fus un mauvais homme” au début de l’année 2018. Après avoir essuyé plusieurs refus d’éditeurs, plus ou moins argumentés (enfin, surtout moins que plus ; mis à part pour deux maisons d’édition qui me firent vraiment très plaisir en m’écrivant, de manière personnalisée, par courrier postal), j’optai pour l’auto-édition.

J’eus de très bons échos sur Librinova, et optai sans hésiter pour ce partenaire. Leurs services d’infographie et de communication sont réputés pour leur performance. Je compte véritablement sur Librinova pour m’aider à me faire connaître auprès des professionnels de l’édition “traditionnelle”. Je commençai par leur adresser l’image de la couverture que j’avais choisie.

Et la couverture de “Je fus un mauvais homme” était prête !

Aujourd’hui, “Je fus un mauvais homme” est en ligne sur le site de Librinova et sur celui de leurs 200 librairies partenaires. Vous pouvez en télécharger un extrait ici, en lire des commentaires, et, aussi, si vous le désirez, déposer votre propre commentaire après avoir lu le roman. Pour le moment, votre achat ne s’effectue que sous format numérique. Néanmoins, j’espère que ce roman connaîtra une longue vie, intense et merveilleuse.

18 March 2019 0 comment
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Communiqué de presse : “Je fus un mauvais homme”
Presse

Communiqué de presse : “Je fus un mauvais homme”

by Pierre Faupoint 18 March 2019
written by Pierre Faupoint

Le communiqué de presse annonce la sortie, en version numérique, de mon premier roman “Je fus un mauvais homme“.

Pour me contacter : pierre.faupoint@gmail.com

18 March 2019 0 comment
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2017 : “Seize”, recueil de poèmes en prose
Mes livres

2017 : “Seize”, recueil de poèmes en prose

by Pierre Faupoint 17 March 2019
written by Pierre Faupoint

Au cours de l’année 2017, les Éditions du Menhir m’ont fait confiance et ont publié mon recueil de textes en prose, “Seize“. J’avais écrit certains de ces textes en 1996, mais je les ai retravaillés pour cette publication. C’est le chiffre roublard par excellence, 16, même si l’on n’est pas plus sérieux à 17 ans !

Cet ouvrage est encore disponible sur le site de l’éditeur : Ici.

Vous pouvez également lire le premier des 16 poèmes en prose, “Bastringue“, ci-après :

Voici la page 2 du texte, “Bastringue” :

Dès que j’en eus la possibilité, j’adressai un exemplaire de mon recueil “Seize” à Christian Bobin. Comme à son habitude, et en dépit de son manque de temps (et puis, finalement, je n’ai eu qu’une relation épistolaire avec cet auteur), il me fit parvenir une jolie carte avec un mot d’encouragement. Décidément, c’est la classe !

Carte de Christian Bobin après avoir reçu mon recueil “Seize“.

17 March 2019 0 comment
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2014 : correspondance avec Christian Bobin
Correspondance

2014 : correspondance avec Christian Bobin

by Pierre Faupoint 16 March 2019
written by Pierre Faupoint

Une amie, un jour de 2014, m’a fait connaître Christian Bobin, et notamment son ouvrage “La Présence pure“. Ça a été un tel choc pour moi que, pour la première fois de ma vie, je décidai d’écrire à un auteur. Dans le courrier que je lui fis parvenir, en plus de six des textes que j’aurai intégrés plus tard dans mon recueil “Seize“, je lui confiai que je n’aimais que les auteurs morts (Nabokov, Rimbaud, Gary). Voici la lettre qu’il m’envoya en retour, dans les trois jours, à mon vrai nom !

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De 2013 à 2019 : le travail de l’écriture
Présentation

De 2013 à 2019 : le travail de l’écriture

by Pierre Faupoint 16 March 2019
written by Pierre Faupoint

(Arthur Rimbaud, dessiné en 1872, par Verlaine)

Depuis 2013, j’ai véritablement mis en place une discipline d’écriture, avec comme objectif de rencontrer mon public de lecteurs et, par la même occasion, d’être soutenu par un éditeur. Les embûches sont multiples, ceux qui ont déjà essayé le savent pertinemment, et l’auto-publication m’a semblé être un bon tremplin pour atteindre mon but. Car, même si les Éditions du Menhir, au cours de l’année 2017, m’ont donné leur confiance en publiant, à compte d’éditeur, un recueil de poèmes en prose (“Seize“, dont je parle dans un autre article), ce genre, la poésie, est de moins en moins lu. Ce n’est pas vrai, Arthur ?

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